Eider à duvet
Somateria mollissima (Linnaeus, 1758)
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- 278 observations
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1
commune -
31
observateurs -
Première observation
1981 -
Dernière observation
2021
Bernard Fabrice (ofb),elder Jean-françois (pnrmcb)
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Bernard Fabrice (ofb),elder Jean-françois (pnrmcb),spiroux Philippe (gonm)
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Bianchini Luc (pnrmcb)
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Bianchini Luc (pnrmcb),elder Jean-françois (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb),caille Marion (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb),caille Marion (pnrmcb),caillot Emmanuel (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb),caillot Emmanuel (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb),davignon Dimitri (symel)
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Blond Mickaël (pnrmcb),galloo Thierry (symel) (symel)
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Bunel Marie (pnrmcb),caillot Emmanuel (pnrmcb)
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Burnouf Benoît (gmn),caillot Emmanuel (pnrmcb),elder Jean-françois (pnrmcb)
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Caillot Emmanuel (pnrmcb)
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Caillot Emmanuel (pnrmcb),elder Jean-françois (pnrmcb)
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Caillot Emmanuel (pnrmcb),elder Jean-françois (pnrmcb),pezeril Sylvain (pnrmcb)
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Chrapecki Marine (pnrmcb)
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Clairefond Pierre (oncfs),elder Jean-françois (pnrmcb)
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Clairefond Pierre (oncfs),elder Jean-françois (pnrmcb),schricke Vincent (oncfs)
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Elder Jean-françois (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),galloo Thierry (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),lesouef Quentin (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),pezeril Sylvain (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),roux Christian (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),trouverie Nathan (pnrmcb)
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Fillol Nicolas (pnrmcb)
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Fondation Beauguillot (pnrmcb)
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Galloo Thierry (pnrmcb)
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Galloo Thierry (pnrmcb),laurent Sylvain (pnrmcb)
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Galloo Thierry (pnrmcb),lesouef Quentin (pnrmcb)
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Morin Rémi (pnrmcb)
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Pezeril Sylvain (pnrmcb)
Informations espèce
Taille/poids
Longueur totale du corps : 50 à 71 cm. Poids : environ 1200 à 2900 g.
Longueur totale du corps : 50 à 71 cm. Poids : environ 1200 à 2900 g.
Diagnose
La silhouette et le profil de la tête sont caractéristiques de l’Eider à duvet : le bec, fort à la base, forme une ligne droite entre son extrémité et le haut du crâne. Le mâle a le dos blanc et le ventre noir. Il présente une calotte noire s’abaissant au-dessous de l’œil, et une zone vert pâle sous l’œil et sur la nuque. La poitrine est blanche et nuancée de rose. La couleur du bec varie du gris verdâtre au jaune-orangé. Le plumage d’éclipse des mâles est brunâtre, proche alors de celui des femelles et des juvéniles.
Les oiseaux volent en file indienne, près de l’eau. Le vol est typique, alternant des périodes de battements et de glissés. La tête est portée basse. En vol, l’Eider à duvet est généralement silencieux.
Détermination
(Simple au niveau spécifique. Facile sur photo).
Le mâle ne ressemble à aucune autre espèce. La femelle ou le jeune, peuvent ressembler en France aux femelles ou jeunes de Macreuses Melanitta sp. avec lesquelles ils se mélangent parfois. Outre sa silhouette typique, avec une tête au profil fuyant, l’Eider à duvet a un plumage brun strié de noir.
Période d’observation
C’est essentiellement en hiver que l’on peut observer cette espèce, que ce soit à Saint Pierre et Miquelon ou en France métropolitaine. Les premiers oiseaux scandinaves rejoignent les rares nicheurs français fin septembre ou en octobre. En fin d’hiver la migration prénuptiale peut commencer dès fin février lors d’hiver doux. Des concentrations importantes sont remarquées tous les printemps autour de Miquelon.
Biologie-éthologie
L’Eider à duvet niche souvent en colonie. Le nid est sommaire. C’est une dépression garnie de végétaux et d’algues, dans laquelle sera déposée la ponte qui bénéficiera d’une abondante protection thermique grâce aux plumes et au duvet de la femelle. En hiver, les eiders à duvet sont généralement en groupes. Ils se tiennent sur des fonds de quelques mètres, mais peuvent plonger jusqu’à une vingtaine de mètres.
C’est essentiellement en hiver que l’on peut observer cette espèce, que ce soit à Saint Pierre et Miquelon ou en France métropolitaine. Les premiers oiseaux scandinaves rejoignent les rares nicheurs français fin septembre ou en octobre. En fin d’hiver la migration prénuptiale peut commencer dès fin février lors d’hiver doux. Des concentrations importantes sont remarquées tous les printemps autour de Miquelon.
Biologie-éthologie
L’Eider à duvet niche souvent en colonie. Le nid est sommaire. C’est une dépression garnie de végétaux et d’algues, dans laquelle sera déposée la ponte qui bénéficiera d’une abondante protection thermique grâce aux plumes et au duvet de la femelle. En hiver, les eiders à duvet sont généralement en groupes. Ils se tiennent sur des fonds de quelques mètres, mais peuvent plonger jusqu’à une vingtaine de mètres.
Biogéographie et écologie
L’aire de reproduction de l’espèce est très large, s’étendant essentiellement entre les 45° et 80° parallèles sur presque toute la circonférence du globe. En période de reproduction, l’espèce reste près des côtes, sur des fonds où la nourriture est accessible et abondante et où les vagues et les courants ne sont pas trop violents. Elle peut également occuper les lacs et les rivières proches du littoral.
L’espèce hiverne assez près des côtes, sur des fonds de quelques mètres où elle peut facilement plonger pour accéder à sa nourriture. Quelques secteurs continentaux sont également occupés en Europe, ceci ayant été favorisé par l’expansion de la Moule zébrée Dreissena polymorpha. Le régime alimentaire de l’Eider à duvet est composé de mollusques, en particulier de bivalves et de gastéropodes, de crustacés et d’échinodermes.
Sources
Texte reprenant des extraits des cahiers d’habitats.
Etcheberry, R. 1982. Les oiseaux de St-Pierre-et-Miquelon, 53 pages.
Non renseigné pour le moment
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Anas molissima Linnaeus, 1758
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