Balbuzard pêcheur
Pandion haliaetus (Linnaeus, 1758)
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- 87 observations
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4
communes -
22
observateurs -
Première observation
2000 -
Dernière observation
2020
Blond Mickaël (pnrmcb)
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Blond Mickaël (pnrmcb),galloo Thierry (symel) (symel)
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Caillot Emmanuel (pnrmcb)
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Debout Gérard (gonm)
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Drouet Marie-noëlle (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),galloo Thierry (pnrmcb)
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Elder Jean-françois (pnrmcb),galloo Thierry (symel) (symel)
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Fillol Nicolas (pnrmcb),trouverie Nathan (pnrmcb)
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Gabet Ludivine (symel)
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Gabet Ludivine (symel),menard Hélène (symel)
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Galloo Thierry (pnrmcb)
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Galloo Thierry (symel) (symel)
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Gonm (inconnu)
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Herouard Anthony (pnrmcb)
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Herouard Anthony (pnrmcb),lecaplain Benoît (pnrmcb)
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Lecaplain Benoît (pnrmcb)
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Lecaplain Benoît (pnrmcb),petiteau Adrien (bénévole Non Affilié)
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Lefevre Jean-marc (pnrmcb)
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Menard Hélène (symel)
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Schmitt Emmanuel (pnrmcb)
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Trouverie Nathan (pnrmcb)
Informations espèce
Longueur 55-58 cm, envergure 145-170 cm, poids 1,1-2 kg.
L’espèce est entièrement dépendante d’une provision suffisante de poissons de taille moyenne qu’elle pêche près de la surface d’eaux claires. Elle est assez adaptable pour ses sites de reproduction, les oiseaux continentaux et nordiques s’installant sur des arbres tandis que les méditerranéens préfèrent les flancs de falaise.
Le Balbuzard se nourrit de poissons qu’il capture lors d’une plongée peu profonde (moins de 1 mètre), les serres étant projetées en avant au dernier moment. L’angle d’attaque est d’habitude entre 45° et la verticale, mais peut être pratiquement horizontal. Dans ce cas, l’oiseau se pose à la surface lors de la capture, ou bien il prend le poisson en continuant son vol au ras de l’eau. De nombreuses adaptations morphologiques sont liées à cette méthode de pêche : les pattes et les doigts sont grands et puissants, les ongles sont fortement courbés et tous d’égale longueur, le dessous des doigts est couvert de courtes épines, le plumage est dense, serré et huileux.
L’espèce est solitaire mais, en dehors de la saison de reproduction, peut se concentrer sur les sites de pêche les plus riches. Elle est monogame (rares cas de bigamie) et la fidélité à l’aire et au partenaire est supposée forte. Les couples se forment dès la 2e année et les oiseaux construisent des ébauches de nid, mais la reproduction ne commence pas avant la 3e année. Le mâle revient au printemps quelques jours avant la femelle et commence à exécuter des parades aériennes. Le maximum d’activité est atteint au retour de la femelle puis décroît rapidement.
L’aire est une forte structure de branchages recouverte de rameaux, de mousses, d’écorce et d’herbe. L’unique ponte de 2 ou 3 œufs (rarement 4) débute dès le mois de mars en Méditerranée, pas avant la mi-avril à l’intérieur des terres. L’incubation dure 34 à 40 jours et les jeunes s’envolent entre la 7e et la 8e semaine après l’éclosion.
L’espèce est entièrement dépendante d’une provision suffisante de poissons de taille moyenne qu’elle pêche près de la surface d’eaux claires. Elle est assez adaptable pour ses sites de reproduction, les oiseaux continentaux et nordiques s’installant sur des arbres tandis que les méditerranéens préfèrent les flancs de falaise.
Le Balbuzard se nourrit de poissons qu’il capture lors d’une plongée peu profonde (moins de 1 mètre), les serres étant projetées en avant au dernier moment. L’angle d’attaque est d’habitude entre 45° et la verticale, mais peut être pratiquement horizontal. Dans ce cas, l’oiseau se pose à la surface lors de la capture, ou bien il prend le poisson en continuant son vol au ras de l’eau. De nombreuses adaptations morphologiques sont liées à cette méthode de pêche : les pattes et les doigts sont grands et puissants, les ongles sont fortement courbés et tous d’égale longueur, le dessous des doigts est couvert de courtes épines, le plumage est dense, serré et huileux.
L’espèce est solitaire mais, en dehors de la saison de reproduction, peut se concentrer sur les sites de pêche les plus riches. Elle est monogame (rares cas de bigamie) et la fidélité à l’aire et au partenaire est supposée forte. Les couples se forment dès la 2e année et les oiseaux construisent des ébauches de nid, mais la reproduction ne commence pas avant la 3e année. Le mâle revient au printemps quelques jours avant la femelle et commence à exécuter des parades aériennes. Le maximum d’activité est atteint au retour de la femelle puis décroît rapidement.
L’aire est une forte structure de branchages recouverte de rameaux, de mousses, d’écorce et d’herbe. L’unique ponte de 2 ou 3 œufs (rarement 4) débute dès le mois de mars en Méditerranée, pas avant la mi-avril à l’intérieur des terres. L’incubation dure 34 à 40 jours et les jeunes s’envolent entre la 7e et la 8e semaine après l’éclosion.
Non renseigné pour le moment
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Falco haliaetus Linnaeus, 1758
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